Même si le SEO (et donc la rédaction web) est une science inexacte, il n’en reste pas moins qu’elle existe et que nous devons l’intégrer dans la stratégie de développement d’un site web. Devenue incontournable, la rédaction web consiste à étudier un sujet et à produire un contenu intéressant pour le lecteur et optimisé pour le moteur de recherche. Ces deux dimensions sont à prendre en compte lors du processus créatif d’un contenu. Sans aucune garantie de résultats (ce qui bloque considérablement les entreprises pour faire appel à des professionnels), la rédaction web est pourtant un passage obligé.
En effet, plus nous utilisons nos smartphones, plus nous nous rendons compte que certaines tournures de phrases ne correspondent plus aux attentes des internautes. Pour écrire de manière à obtenir un bon référencement, il faut se demander : comment dirais-je cela si je devais faire une recherche vocale ?
Ok Google, Alexa ?
La place des assistants intelligents a gagné du terrain en 2018 et comme c’est un axe de développement des grandes firmes, cela n’est sûrement pas près de s’arrêter !
Si vous avez la possibilité, pensez à intégrer, dans vos recherches de sujets ou de concurrence lors de votre travail préliminaire, une partie pour les recherches vocales. Si vous demandez à Google de vous donner des informations sur le sujet que vous voulez traiter dans vote contenu, vous verrez vite si cela vaut le coup de vous positionner et surtout de quelle manière !
Alors certes, toutes les missions de rédaction web n’incluent pas la recherche de visuels pour illustrer vos propos. En revanche, cette information vaut son pesant d’or puisque vous avez probablement un blog ou un site web à faire vivre en tant que rédacteur web freelance. C’est là qu’il faut vous positionner. Les visuels vont prendre de plus en plus d’importance dans les mois à venir, mais attention, les résultats ne seront pas visibles tout de suite (hors marché de niche bien évidemment).
Il y a deux paramètres à prendre en compte dans vos visuels :
Pensez à bien remplir les champs (et demandez à votre développeur d’en ajouter si vous estimez qu’il faut en ajouter !) des balises de vos images.
Depuis le lancement de Google Opposum, le développement du SEO local est un enjeu majeur. Il est donc logique qu’en 2019, il prenne un peu de place dans la stratégie. Google souhaite développer encore plus la relation entre les internautes et les commerçants. Quel outil fonctionne mieux que Google Maps ?
Avez-vous déjà laissé des commentaires ou des notes sur cet outil ? Si la réponse est non, il serait intéressant de vous pencher sur la question. On sait que Google aime Google, donc s’il vous propose un outil pour laisser des commentaires et créer du lien, il serait dommage de laisser un espace vide dans votre communication, non ?
Google Local s’appuie sur les commentaires de Google Maps pour construire aussi des réputations. Partez à la chasse aux commentaires dès maintenant et faire votre statut de guide local chez Google. Je dis ça, je dis tout !
Saviez-vous que Google propose maintenant la diffusion de billet de blog directement sur le moteur de recherches ? Eh oui ! Vous pouvez déposer vos articles, événements et autres posts directement sur votre fiche Google My Business. Cela vous permet de faire vivre la page Google de votre activité et/ou de votre entreprise. Le fait de déposer un lien direct vers vos billets de blog produit un effet levier sur le trafic (testé 5 mois en 2018 et j’ai obtenu une augmentation de mon trafic d’environ 10 % – ce qui n’est pas négligeable). Alors en 2019, puisque Google compte y mettre plus de moyens, on peut se dire que notre rédaction web va gagner en visibilité si on utilise bien les outils à disposition.
Seul bémol : les contenus ne peuvent pas être programmés. Il faut donc prendre du temps pour les poster en ligne.
Vous disposez de 1500 caractères pour rédiger une introduction pertinente et percutante afin d’inciter les visiteurs à cliquer sur le bouton que vous aurez choisi. 1500 caractères, ça correspond environ à 240 mots. Attention, inutile de faire des titres, car l’éditeur des posts est tellement simple (et limite archaïque) que tout finit dans un bloc unique. Testez !
Bon ok, celle-ci n’est pas vraiment une tendance, mais il est toujours bon de le rappeler : le rédacteur web doit guider la lecture de son internaute avec des typographies, des titres et intertitres, des visuels et tout autre élément qui donne du rythme à la lecture. C’est important, selon moi, de le rappeler, car trop souvent, on voit des textes lourds à lire, sans structure. Même si les propos sont très intéressants, ils sont noyés dans des blocs que l’on peine à lire. C’est très souvent le cas sur smartphone.
Dans le train, il m’arrive de vouloir travailler sur mon petit pc (sur lequel j’écris) tout en faisant des recherches complémentaires sur mon smartphone. Mais la lecture est tellement douloureuse sur ce petit écran que j’abandonne rapidement. Les caractères sont trop petits sur les anciens sites et c’est impossible d’avoir une lecture agréable… les images deviennent un point de repère intéressant, mais ne sont généralement pas descriptives du texte, donc sans grand intérêt.
Vous voyez où je veux en venir ? Google est en train d’harmoniser tout cela et si vous êtes dans les premiers à vous positionner avec des contenus en cohérence avec les attentes des internautes, vous serez gagnants !
Pensez donc à bien structurer vos contenus pour les rendre agréables à la lecture. Travaillez les mots-clés avec intelligence. Ne restez pas bloquer sur les anciennes règles de la densité de mot-clés ou de la répétition volontaire. Votre rédaction web doit être fluide et délicate. Comme une fleur qui s’ouvre à la rosée du matin (quelle poésie !).
En rédaction web, 2019 sera sûrement une année intéressante. Si vous avez envie de rédiger plus de contenus intéressants, formez-vous en rédaction web SEO ! C’est le meilleur moyen, et le plus rapide, d’acquérir les connaissances nécessaires en SEO pour progresser. Si votre projet est de vivre de votre métier, c’est encore plus important.
Je propose des sessions dans plusieurs villes cette année, comme Bordeaux, La Rochelle, Nantes, Rochefort, ou encore Poitiers. Comme j’ai obtenu l’enregistrement de mes formations dans le DATADOCK, cela signifie que vos formations peuvent être prises en charge par un organisme de formation, un OPCA. Vous n’avez plus d’excuses ! À bientôt !
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