Le snacking content ou micro-contenu est un type de contenu que l’on utilise encore trop peu dans les stratégies de contenu, pourtant il apporte une dimension intéressante à votre contenu : la rapidité ! Rapide à rédiger, rapide à lire, rapide à retenir. C’est ainsi que vous allez pouvoir capter l’attention de votre lecteur. Les codes rédactionnels du snack content sont un peu différents des codes de la rédaction web du type billet de blog ou dossier. Là, il faut aller à l’essentiel et séduire le lecteur dès le premier mot. C’est un exercice périlleux mais bien maîtrisé, il booste sérieusement le SEO.
Le micro-contenu a pour but de développer une seule idée en peu de mots. Même si le nombre de mots est sujet à débat, le snacking content mérite bien sa place dans une stratégie.
Certains diront qu’un article (ou billet de blog) de 300 mots est considéré comme du snack content. J’ai envie de dire que cela dépend de votre contenu. Si tous vos billets font entre 350 et 400 mots, Google va considérer que c’est votre norme rédactionnelle, donc un billet de 100 mots devient du micro-contenu. De même, si vous avez l’habitude de développer des dossiers de 1000 mots, votre billet de 300 mots sera du snacking content… logique ! Les référenceurs ne peuvent pas le nier, des textes très courts de 50 mots peuvent très bien se référencer.
Concrètement, le micro-contenu n’est pas une question de nombre de mots, mais plutôt de pertinence et de proximité. Le but du mini contenu est de créer une interaction avec votre public, de les inciter à répondre à information, sans nécessairement créer la polémique. Ne dit-on pas qu’une image vaut 1000 mots ?
N’oubliez pas d’intégrer cet aspect du contenu dans votre prochaine stratégie de contenu !
Inspiration de l’article : webmarketing : snacking content, la potion magique du marketing de contenu
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